La Carène apporte son soutien aux équipes professionnelles dans le cadre d’accueil de pré-productions ou de résidences de création. Elle affirme, ainsi, son rôle dans la dynamique de création de la scène musicale actuelle, dans toute sa diversité et travaille en concertation avec ses partenaires et les réseaux à l’échelle départementale et régionale, voire nationale.
Pour certains groupes, le passage d’un dispositif d’accompagnement à une résidence, c’est-à-dire d’une situation d’amateur à un statut professionnel, confirme l’évolution du groupe et le niveau de sa reconnaissance. La résidence est un temps de travail privilégié, sur un temps déterminé, dans des conditions optimales. Ce dispositif rémunéré peut être accessible sur demande, avec un projet bien défini.
Ils sont venus en résidence
CALL ME MAX, Skøpitone Siskø, BABS, ARNAUD LE GOUEFFLEC , POING, MADBEN, SNAP, ORVILLE, BLUTCH, CHANSONS DRAGON, MNEMOTECHNIC, PICTURED, BREST BABEL ORCHESTRA, LUDOVIC DULAC, TINY FEET, , ELECTRIC BAZAR CIE, CHAPI CHAPO ORCHESTRA & TINY FEET, MOGER, STARTIJENN, FAUSTINE, LOUP BARROW, COLIN CHLOE, SIAM, CRAFTMEN CLUB, GIPSY BUREK ORCHESTRA, PAPIER TIGRE, MICHEL CLOUP, BIKINI MACHINE...
Ils ont participé aux créations Jeune Public ou aux actions culturelles
MNEMOTECHNIC, SONARS, LES KAREN SHERIFFS, SWOOH, MALOU O, URSA ROSSO, BLANCHE, TEMPETES, FRANCOIS JONCOUR, VINCENT MALASSIS, JERRICAN NACHOS (jeune Public)...
Résidence au long cours SONARS, une rencontre entre art et science
L’univers sous-marin n’est définitivement pas un monde du silence... et ce qu’on y entend a beaucoup à raconter, pour la science d’abord, mais aussi pour les artistes. En 2018, La Carène démarre une résidence au long cours entre artistes et chercheurs, en partenariat étroit avec le laboratoire franco-québécois BeBEST, qui oriente une partie de son travail de recherche en écologie, autour des sons sous-marins. Aux côtés de nombreux partenaires, La Carène fait appel aux talents de trois artistes musiciens – Maxime Dangles, François Joncour et Vincent Malassis qui, durant 5 années, vont s’approprier cette matière sonore et créer de nombreux formats, immersifs ou performatifs, pour sensibiliser, témoigner et donner à voir.
SONARS n’a pas cessé de nous fasciner et de nous échapper aussi, tant le projet a inspiré, aux 4 coins du globe, malgré le contexte et les crises successives. Aujourd’hui encore, SONARS résiste et témoigne de « la beauté de la catastrophe ».
Tout savoir sur le projet SONARS sur le site Internet.
Contact
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Elisabeth TORTORICI-KERMARREC
Responsable de l’action culturelle & programmation jeune public